A toi, qui était la Joie. Celle qui a égayé mes dimanches,nos hanoukkas, nos après-midis… À ton sourire désarmant, ta personnalité authentique. Tu nous manques, tu dois beaucoup manquer à tes enfants. Je revois cette photo, j’avais à peine deux ans. Tous regardent l’objectif, sauf toi qui me regarde. Le regard d’une jeune femme douce …
A la joie
